lundi 15 septembre 2008

Le 15 septembre : Il y a deux cent ans, en 1810


Je me suis souvent posé la question de l’environnement sociopolitique dans lequel se trouvait le village de Combrée et tout le pays, lors de la création de la première classe de ce qui devait devenir plus tard notre vieux collège !

Petit rappel historique trouvé sur le Net :

Lithographie de Joseph KriehuberNapoléon Ier divorce de Joséphine de Beauharnais car elle ne lui donnait pas de progéniture. Il hésite entre la sœur du tsar de Russie et la fille de l'empereur d'Autriche. Il accepte finalement l'offre de l'empereur d'Autriche, qu'il a contraint à la paix après la difficile victoire de Wagram. Ce mariage a aussi pour objectif d'apaiser les relations entre la France et l'Autriche, qui ont connu 18 ans de guerre. « J'épouse un ventre ! », dit Napoléon. Il prend des leçons de maintien et apprend la valse.

De son côté, Marie-Louise d'Autriche accepte de se « sacrifier pour le bonheur de l'État » Un mariage est d'abord célébré par procuration, à Vienne, le 11 mars 1810, comme le veut la tradition. Puis Marie-Louise vient en France. Impatient, l'empereur ne se contient pas et va à la rencontre du carrosse à Compiègne, le 27 mars. Le soir même, sans attendre le mariage officiel, il initie sa jeune épouse à ses devoirs conjugaux. Le lendemain, béat, il glisse à son aide de camp Savary : « Mon cher, épousez une Allemande, ce sont les meilleures femmes du monde, douces, bonnes, naïves et fraîches comme des roses ! »

Le lundi 2 avril 1810, à 40 ans, Napoléon épouse l'archiduchesse d'Autriche Marie-Louise, âgée de 18 ans. Pendant trois semaines, ils vivent une lune de miel, coupée du monde.
Marie-Louise est mal accueillie par la famille de Napoléon, ainsi que par la cour impériale. Les gens les plus modestes l'apprécient. Par exemple, elle discute facilement avec les Parisiens lorsqu'elle se promène dans le jardin des Tuileries. Son éducation bourgeoise l'avait sans doute aidée.

Moins d'un an plus tard, le 20 mars 1811, naît l'héritier tant attendu : Napoléon II

Puisque l'on parle progéniture, sur la photo je vous présente mes trois fils : Thomas, Vincent et Pierre.

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