Le 15 septembre : Il y a deux cent ans, en 1810
Je me suis souvent posé la question de l’environnement sociopolitique dans lequel se trouvait le village de Combrée et tout le pays, lors de la création de la première classe de ce qui devait devenir plus tard notre vieux collège !
Petit rappel historique trouvé sur le Net :
Napoléon Ier divorce de Joséphine de Beauharnais car elle ne lui donnait pas de progéniture. Il hésite entre la sœur du tsar de Russie et la fille de l'empereur d'Autriche. Il accepte finalement l'offre de l'empereur d'Autriche, qu'il a contraint à la paix après la difficile victoire de Wagram. Ce mariage a aussi pour objectif d'apaiser les relations entre la France et l'Autriche, qui ont connu 18 ans de guerre. « J'épouse un ventre ! », dit Napoléon. Il prend des leçons de maintien et apprend la valse.
De son côté, Marie-Louise d'Autriche accepte de se « sacrifier pour le bonheur de l'État »
Le lundi 2 avril 1810, à 40 ans, Napoléon épouse l'archiduchesse d'Autriche Marie-Louise, âgée de 18 ans. Pendant trois semaines, ils vivent une lune de miel, coupée du monde.
Marie-Louise est mal accueillie par la famille de Napoléon, ainsi que par la cour impériale. Les gens les plus modestes l'apprécient. Par exemple, elle discute facilement avec les Parisiens lorsqu'elle se promène dans le jardin des Tuileries. Son éducation bourgeoise l'avait sans doute aidée.
Moins d'un an plus tard, le 20 mars 1811, naît l'héritier tant attendu : Napoléon II
Puisque l'on parle progéniture, sur la photo je vous présente mes trois fils : Thomas, Vincent et Pierre.
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